👥 En larmes, Sharon Stone révèle avoir perdu “la moitié de son argent” dans la faillite de la Silicon Valley Bank
Sharon Stone a affirmé, en pleurant, qu’elle avait perdu “la moitié” de sa fortune dans la récente crise économique provoquée par les récentes faillites des banques américaines Silicon Valley Bank, Signature et Silvergate.
Lors d’un discours prononcé jeudi soir à l’occasion d’un gala caritatif organisé par le “Women’s Cancer Research Fund”, l’actrice a évoqué sa perte financière, en exhortant les gens présents dans la salle à faire des dons pour aider la recherche contre le cancer du sein.
“Je suis une idiote, et pourtant je sais écrire un chèque”, a-t-elle entamé. “Et en ce moment, c’est aussi faire preuve de courage, parce que je sais ce qu’il se passe dans le monde. Je viens de perdre la moitié de mon argent à cause de cette affaire bancaire, et pourtant je suis là. » Par ces mots, la star souhaitait montrer que chacun peut y mettre du sien malgré le contexte économique actuel.
“Ce n’est pas une période facile pour aucun d’entre nous », a-t-elle encore ajouté.
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La star de “Basic Instinct” n’a pas donné plus de détails sur sa situation financière ni sur les causes exactes de ses pertes personnelles. Mais son discours intervient quelques jours après l’effondrement de la SVB et de la Signature Bank, respectivement deuxième et troisième plus grandes faillites bancaires de l’histoire des États-Unis.
Pour rassurer sur la solidité du système bancaire, les autorités américaines ont assuré que l’intégralité des dépôts des deux banques en faillite seraient garantis, ce qui signifie qu’il est peu probable que l’actrice a réellement perdu l’argent lié à l’une ou l’autre de ces sociétés.
Émotion
Dans son discours, Sharon Stone a également raconté avec émotion son propre combat contre le cancer du sein et a fait l’éloge des autres survivantes présentes dans la salle. Elle a par ailleurs rendu hommage à son frère Patrick, décédé le mois dernier à l’âge de 57 ans des suites d’une maladie cardiaque, selon le Hollywood Reporter.
“Mon frère vient de mourir, mais cela ne veut pas dire que je ne suis pas là. C’est une période difficile dans le monde, mais je vous le dis, je ne veux pas qu’un politicien me dise ce que je peux ou ne peux pas faire, comment je peux ou ne peux pas vivre, quelle est la valeur de ma vie ou non. Alors, levez-vous. Levez-vous et dites ce que vous valez. Je vous mets au défi. C’est ça le courage.”
Son intervention s’est terminée sur une ovation.
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