🇬🇶 Guinée-Équatoriale : Baltasar Engonga innocenté dans l’affaire des vidéos compromettantes
La Cour suprême de Guinée-Équatoriale a statué sur l’affaire impliquant Baltasar Engonga, innocenté après la diffusion en ligne de plus de 400 vidéos à caractère sexuel. Le tribunal a conclu que les relations capturées dans ces enregistrements étaient consensuelles et impliquaient uniquement des adultes.
Des preuves disculpantes
Le jugement repose sur plusieurs éléments :
- Les enquêtes ont démontré que toutes les partenaires filmées étaient majeures et consentantes.
- Les examens médicaux ont confirmé que Baltasar Engonga n’a transmis aucune maladie sexuellement transmissible.
- Aucune contrainte ou influence indue n’a été prouvée dans les relations.
Réactions inattendues des maris
Un aspect surprenant de cette affaire réside dans les réactions de plusieurs maris des femmes impliquées. Certains ont exprimé leur reconnaissance envers Baltasar Engonga, affirmant que les vidéos avaient révélé l’infidélité de leurs épouses. Cette situation a conduit plusieurs couples au divorce, les maris invoquant une opportunité de mettre fin à des relations qu’ils considéraient malhonnêtes.
Violation de vie privée et plaintes à venir
Malgré l’issue favorable du procès, Baltasar Engonga a fermement condamné la fuite des vidéos, qualifiant cet acte de grave atteinte à sa vie privée. Il a annoncé son intention de poursuivre en justice les responsables de cette diffusion, affirmant que :
« Cette campagne de diffamation a profondément affecté ma réputation et causé un tort considérable à ma vie personnelle et professionnelle. »
Baltasar a également évoqué les répercussions sur sa famille et son entourage, dénonçant ce qu’il considère comme un traumatisme national.
Un scandale au retentissement national
Cette affaire, marquée par des révélations choquantes et des répercussions sociétales, continue de susciter des débats en Guinée-Équatoriale. La question des violations de la vie privée et des responsabilités légales dans ce type de cas reste au centre des préoccupations.