🇸🇳 Pèlerinage de Popenguine : les marcheurs seront au nombre de 22 338, soit une hausse estimée entre 30 et 40%

🇸🇳 Pèlerinage de Popenguine : les marcheurs seront au nombre de 22 338, soit une hausse estimée entre 30 et 40%

Le pèlerinage marial de Popenguine, événement religieux, qui ne s’est pas tenu les deux dernières années à cause de la crise sanitaire liée à la pandémie du Covid-19, aura lieu cette année du 4 au 6 juin, selon le Comité national d’organisation. Ils seront au nombre de 22 338, soit une hausse estimée entre 30 et 40%.

« Le Pèlerinage est une démarche spirituelle constitué d’un parcours qu’on appelle le Parcours du Pèlerin. Ce dernier est à respecter par tous les pèlerins qui arrivent à Popenguine. Ils doivent d’abord se confesser, participer à une célébration eucharistique, faire l’adoration, prier sur la Vierge Marie et faire des rencontres fraternelle », a expliqué le directeur adjoint des Œuvres diocésaines, Père Paul Mandinka.

Intervenant lors d’une conférence de presse organisée par le Comité national d’organisation du Pèlerinage marial de Popenguine, le religieux a soutenu qu’un pèlerin ne peut pas aller à Popenguine et rentrer sans participer à une célébration eucharistique, qui est le centre et le sommet de la vie chrétienne’’.

C’est pour cette raison, selon lui, que ces célébrations ont été multipliées pour permettre à toutes les générations des plus âgées aux plus petits d’avoir le temps de prière avec Dieu, précisant que « ce sont ces cinq étapes qui rythment le pèlerinage ».

Il a rappelé que cet événement est aussi constitué de messes et de moments d’enseignements. « Tout pèlerin est appelé à vivre ces moments avec une intense ferveur spirituelle pour rentrer et espérer en retour que ces prières seront accueillies par le Seigneur et seront récompensées en grâce. Nous invitons donc tous les pèlerins à respecter ces cinq étapes appelées le Parcours du Pèlerin », a insisté le Père Mandinka.

Pour cette 134ème année, le thème porte sur : « L’amour familial, vocation et chemin de sainteté », selon l’abbé Augustin Sébastien Mamadou Diouf, le directeur des œuvres Diocésaines.

PressAfrik