🇺🇸 La Maison Blanche minimise une fuite sensible sur les frappes au Yémen

L’administration Trump tente de contenir les conséquences d’une fuite embarrassante après qu’un journaliste a eu accès à des discussions sensibles sur les frappes contre les Houthis, tout en assurant qu’aucune information classifiée n’a été compromise.
Les faits révélés
Jeffrey Goldberg, rédacteur en chef de The Atlantic, a publié un article détaillant :
- Des échanges entre hauts responsables américains sur Signal
- Les préparatifs des frappes du 15 mars contre les Houthis
- Les réticences exprimées par le vice-président JD Vance
- La présence dans le groupe de Marco Rubio et Pete Hegseth
La réaction officielle
La Maison Blanche a tenté de minimiser l’incident :
- « Aucun ‘plan de guerre’ n’a été discuté » (Karoline Leavitt)
- « Aucune information classifiée n’a été envoyée »
- Ouverture d’une enquête sur l’ajout accidentel du journaliste
Les réactions politiques
L’affaire a suscité de vives réactions :
- Donald Trump a affirmé « ne rien savoir » de cet incident
- Chuck Schumer (démocrate) parle de « l’une des fuites les plus stupéfiantes »
- Des questions sur les protocoles de sécurité de l’administration
Contexte sensible :
Cette fuite intervient alors que :
- Les frappes au Yémen restent un sujet controversé
- L’administration Trump est critiquée pour sa gestion des affaires étrangères
- La sécurité des communications gouvernementales est remise en question
À suivre :
- Les résultats de l’enquête interne
- D’éventuelles conséquences disciplinaires
- Les répercussions sur la crédibilité des canaux officiels
- L’impact sur les opérations en cours au Yémen